Pour mes randonnées vélo, je :
- Respecte et partage la voie avec les vignerons. Ils travaillent dans les vignes, et empruntent les voies ouvertes aux cyclistes pour accéder à leurs parcelles. Ils sont fiers de me faire découvrir leur métier & leur terroirs.
- Les piétons sont prioritaires. Ils sont rares et précieux, donc je les traite avec délicatesse.
- Je respecte les panneaux de signalisation. Si ça dit stop, je m’arrête ! Pas question de jouer les rebelles du cépage.
- Je garde mon téléphone et mes écouteurs dans ma poche. Pour être en sécurité, j’ai besoin d’entendre les klaxons. La musique dans les oreilles, c’est pour la maison. Celle des bouchons, c’est dans les caves.
- Je ne roule pas à contre sens. C’est comme choisir le mauvais vin, j’évite absolument.
- Je circule sur les pistes cyclables. S’il n’y en a pas sur mon itinéraire, je prends la route, mais toujours avec classe et prudence.
Je roule malin et je respecte les règles !
- Mon vélo est en bon état : bien entretenu, avec des freins, lumières et sonnette, les pneu gonflés. Je suis prêt pour la route, comme un bon vin avant la dégustation.
- Je m’équipe correctement afin d’être visible et en sécurité quelles que soient les conditions météo. En Bourgogne, on aime les belles étiquettes.
- Je ne reste pas dans les angles morts des autres usagers : véhicules utilitaires, bus, fourgonnettes, voitures et même autres cyclistes sous peine de finir comme un verre cassé.
- Je stationne mon vélo comme on stocke une bouteille dans une cave : toujours sur les emplacements prévus, bien rangé et sécurisé sans gêner les piétons ou autres usagers de la voie publique
- J’anticipe et j’indique clairement mes changements de direction en tendant le bras. Avec ma famille ou mes amis, je roule toujours en file indienne pour laisser la place aux autres usagers.
- Je maitrise ma vitesse. Sur la Route des Grands Crus, les bons millésimes s’obtiennent avec patience. Je prends le temps, comme un vin qui vieillit bien.